Je suis sa secrète et j'aime ça. C'est tellement égoïste de ma part de me dire qu'il est la et qu'il le sera toujours que je peux compter sur lui et que je sais qu'au moins quelqu'un m'aime. Dans un sens je l'aime aussi.

Enfaite il me fait frissonner et il me procure un bonheur inexplicable. J'ai si peur de lui faire du mal, je tiens a lui comme jamais je n'ai tenu a quelqu'un.

"Dors bien mon coeur."

C'est la que j'ai sentis mon coeur dans ma poitrine c'est parce qu'il a loupé un battement, que mon corps a frissonné de bonheur...

Je suis désolé, si jamais je brise ton coeur je ferai tout pour le recoller, même si c'est a coup de bisous.

Un jour il me le dira.

"Hier on en avait parlé je t'avais dis que je n'aimais pas ça c'est quelque chose qui me répugne et que je trouve sale. Tu disais me comprendre et ne pas être avec moi pour ça. Aujourd'hui j'étais fatigué je rentrais du travail, j'étais épuisé. Tu m'as proposé une sieste j'ai accepté. J'ai dormis comme une masse. Je n'étais plus maitre de mon corps. Je ne ressentais rien et ne sentais absolument rien. Tu disais que je n'étais pas la pour ça. Alors pourquoi? Pourquoi quand je me suis réveillé ma culotte était sur mes chevilles? Pourquoi il y avait cette tache sur le matelas. Pourquoi je t'ai retrouvé dans la salle de bain. Pourquoi tu n'étais pas protégé? Pourquoi tu ne me l'a simplement pas demandé. Même si je n'aime pas ça je t'aurai fais plaisir quoi qu'il arrive. J'ai peur de toi maintenant. "

J'ai continué la vie de mon héroïne elle a eu son premier baiser.... Elle me fait rêver.

Elle lui a demandé qui c'est qu'elle voyait demain. Il lui a demandé pourquoi et elle a enchainé du tac au tac pourquoi pas? Il a souris. Il lui a dit qu'il avait hâte de la voir. Elle lui a répondu qu'elle était bien avec lui qu'elle l'appréciait beaucoup. Il lui a dit que c'était réciproque. Il lui a dit j'adore ta coupe ça te va vraiment bien. Elle lui a dit merci. Il lui a refait le compliment une deuxième fois.

Elle : Merci c'est très gentil il y aura au moins une personne qui me l'aura dit.

Lui : Personne ne te l'a dit même pas ton copain?

Elle : Non personne même pas mon copain.

Lui : Il ne sait pas ce qu'il loupe.

Il lui a ensuite dit qu'il se verrai beaucoup et qu'il se débrouillerai pour qu'ils soient ensemble les 3 prochaines fois. Elle avait le coeur qui s'emballait elle était transporté.

Lui : Si tu avais été célibataire je t'aurai invité a boire un coup.

Elle ne su quoi répondre il était tellement beau quand il souriait. Elle veut le revoir encore et encore.

Ensuite elle s'en est allé avec une autre personne que lui, car ce n'était pas son tour et en partant il lui a dit : "Au faite ça te va vraiment bien."

Elle sourit. Il partit.

Un jour elle sera peut être l'héroïne d'un livre écrit par mes soins. Je raconterai sont histoire. Je lui inventerai une suite. Un jour. Histoire de m'évader a nouveau et de vivre a travers quelque chose qui n'existe pas.

"J'ai posé mes yeux sur la mauvaise personne. Le coeur déjà bien remplis ça n'aurai pas du m'arriver. Comment m'en détacher maintenant, j'y pense chaque jour un peu plus et je recule l'échéance... Un jour j'arriverai a terme.

Mais en attendant dans mes rêves je n'ai de désirs que pour lui."

C'est l'heure. Rien ne va plus. Ca recommence encore et encore. Je me referme a nouveau comme une coquille d'huitre.

- Mes poignets me démangent.

- Ma cigarettes me manque.

- La musique est revenue, les souvenirs aussi.

"Tu prends soin de tes instincts
Peu importe ce que tu fais
Ta vie pourrait être tellement meilleure quand tout est fini
Les démons qui ont refusé de te laisser partir
S'en vont les mains vides
Tu dois te laisser une chance
Ne met pas fin à ta vie
Car c'est là où tu montres tes derniers signes"

Et pourtant j'y mettrais fin.

Je viens de rentrer du travail. Je suis pleine de farine. Il ne viendra pas. Pas de je t'aime, pas de tu me manques. Rien. Le vide.

"Quoi qu'il arrive je viendrai." Faux.

Papa est rentré au final.

Des fois j'aimerai être la victime d'un tueur en série. Comme ça je ne serai plus ma propre victime.

Je n'arrive pas a me calmer, j'ai trop mal, je suffoque, mes yeux pleurent tous seuls. Je me déteste.