"On se retrouverai quelques fois dans la semaine, par des nuits étoilés. On se ferai des baisers timides sur le début. Tes mains toucheraient délicatement mon visage, comme si tu essayais de lire en moi quelque chose que je ne peux dire. Tu déboutonnerai mes chemisiers avec douceur. Des moments doux et romantiques. On s'embrasserait et nos caresses deviendraient de plus en plus intense. J'apprécierai et mes gémissements te le ferai comprendre. Alors tu recommencerai a chacun de nos rendez vous, parce que tu aimes mon sourire et l'intensité de nos contact.

J'ai imaginé qu'on faisait l'amour rien qu'une fois, car a travers certain de tes écris je te jalouse. Je sais la jalousie c'est moche.

Et pourtant je ne connais toujours pas ton prénom.

J'aimerai te sentir frémir quand tu lira ça, mais tu ne le lira probablement pas avec l'attention que j'aimerai que tu y apportes. J'aimerai sentir ton coeur louper un battement. J'aimerai sentir le doute qu'il y aurai dans ton esprit a te demander si c'est bien toi. "

"Certain font l'amour a des moteurs de recherche. Moi je rêve d'une pyjama partie entre fille. Ou je pourrai gouter a chacune d'entre elle."

Prologue.






Il l'appelait. Encore et encore. C'était la troisième fois cette semaine.
–    Carla je peux entrer? Dis moi je peux?
Carla fermait les yeux et ne disait rien. Elle ramenait les couvertures vers elle. Elle écoutait il était toujours là. Derrière sa porte. Elle priait le ciel pour que ce soir il ne se passe rien.
–    Carla , dis je peux?
Il ouvrit la porte de la chambre, et entra dans la pièce. Seul les lumière de la rue filtrait a travers le volet a demi fermé de la chambre. Il voyait très bien les yeux de Carla. Il lui implorait de ne rien faire. Carla voulut ouvrir la bouche pour dire quelque chose, mais rien ne sorti. Il se déshabillait la   devant elle, ce n'était pas la première fois... Carla fermait les yeux et se recroquevilla sur elle même. Il était désormais nu devant elle. C'était un jeune homme assez imposant pour son âge. Il était grand dans les un mètre quatre vingt, les épaules carrées. Il était sculpté. Oui sculpté était le bon mot. On pouvait voir chacune des formes de ses muscles, chaque contour de ses articulations. Il était beau. Oh ça oui il était beau. Il n'y avait rien a redire sur ça.  Mais les apparences restent des apparences , et celles-ci était trompeuses. A l'intérieur c'était l'être le plus infâme que dieu est fait. Carla le regardait fixement. Les larmes s'écrasait désormais sur ses joues. Il s'approcha de son visage , et passa ses mains dans les cheveux de Carla.
–    Je sais que tu en meurs d'envie. Carla je le sais! Tu m'appelles intérieurement. Tu es à moi . A moi! Et tu le sais. Ne m'énerve pas , pas ce soir ne fais pas comme les autres soirs. Carla s'il te plais. Cesse de pleurer et exécute toi. Sur le champs!
Il prit la chaise qu'il y avait près du lit et s'assit dessus. Carla ne bougeait pas. Elle avait la gorge noué, elle essayait d'étouffer ses sanglots mais ses larmes inondait ses joues. Il perdait patience et elle le savait. Il l'attrapa violemment par les cheveux tout en restant assis et la ramena a lui.
–    Carla j'attends! Dépêche toi! Ouvre ta bouge dessuite. Je ne vais pas attendre éternellement . Pose tes lèvres sur moi . Aller Carla j'en meurs d'envie et tu le sais. Ne te fais pas prier. Je t'aime.
L'idée de lui demander de quelle manière il l'aimait lui traversa l'esprit mais elle se ravisa. Il lui faisait mal. Elle se pencha au dessus de lui. Ouvrit la bouche et la referma sur « lui ». Elle entendait ses gémissements. Elle n'en pouvait plus. Il fallait que ça cesse. Oui il le fallait.

D :

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De :

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Demain tu te maries
Demain tu te maries patricia carli
Demain tu seras paysan mon fils
Demain tu te maris mathieu rozas
Demain tu te marie paroles

Demain tu m :

Demain tu m'aimeras encore
Demain tu m'aimeras
Demain tu maries

Demain tu me :

Demain tu meu :

Demain tu meur :

Demain tu meurs :

Demain tu meurs et aujourd'hui?

Et voila. Lalileloluly

" C'est parce que je pense a toi et que maintenant je sais comment t'imaginer."

Qu'est ce que ça fais du bien de travailler.

A la maison nous sommes deux, des deux je suis l'ainé, des deux je suis la moins aimé. Elle a le droit a tout ce qu'elle désire, moi on souffle quand je demande quelque chose.

A la maison nous sommes deux et je suis la plus dégueulasse des deux. Celle qui ne souris pas, celle qui n'est pas serviable, celle qui ne veut pas aimer les autres.

Pourtant a la maison, c'est moi qui range, c'est moi qui aide, c'est moi qui fait plaisir.

"Papa, Maman je sors je ne sais pas a quelle heure je rentre." On m'en fais tout un foin a chaque fois.

Pourquoi tu me regarde comme ça?
Comment ça comme ça?
Tu me regarde mal, ça me gêne. Tu fais la gueule?
Non je ne fais pas la gueule... Et je te regarde normalement.
Non tu as quelque chose de mauvais dans le regard. Et je n'aime pas ça.

J'ai les yeux noir et c'est mon plus bel atout. J'arrive a faire en sorte que n'importe qui se sente mal a l'aise juste en le regardant. Je l'avoue j'en joue beaucoup et ça fait de moi une personne a double fond. Je suis hypocrite avec les personnes qui le sont au quotidien... Mais des fois j'explose et je m'emporte. Mes mots ne dépassent pas mes pensées non loin de la, je dis absolument tout.

Mais une paroles vexante, accompagné d'un regard remplit de dégout... Enfin les gens évite de me parler, dans les yeux.

Ma main est enfin réparé. Demain le travail, il était tant, je vais commencer a être heureuse, même si ces deux derniers jours certaines personnes inconnues ont posés un paquet de sourires sur mes lèvres.

Comme une pâquerette.

"Ecoute , dit-il, changeant brusquement de sujet.Tu doit te reposer .Moi aussi , je suis fatigué.Si on dormait ensemble? Il s'agit juste de dormir , je te promet que je ne tenterai rien.  
-Je ne pense pas , non.                                                           
-Tu préfere que Kalona se pointe dans tes rêves ?                     
-Non , mais ...euh...Je croit pas que se soit une bonne idée.      
-Parce que tu ne croit que je tiendrai pas parole.                      
-Non , parce que je ne veux pas que quelqu'un sache que tu ai venu ici, dis-je en toute sincérité.                                             
-Je partirai avant que tout le monde se réveille .                       
Je sus alors qu'une réponce positivepourrait l'aider à retrouver son humanité. Les deux derniers vers du poème de kramisha résonnèrent de nouveau dans mon esprit.                                
-Bon ,d'accord .Mes tu as intérêt a déguerpire a temps !            
-Tu es sérieuse ?                                                                   
-J'en ai bien peur. Maintenant, viens , ou je risque de sombreren plein milieu d'une phrase .                                      
-Cool !Pas besoin qu'on me le dise deux fois .Je suis un monstre , pas un imbécile .                                                     
Je me poussai sur le côté, délogeant Nala. Elle râla et alla au pied du lit, où elle tourna trois fois sur elle-même et s'endormie avant même d'avoir posé la tête sur ses pattes .                       
Stark s'approcha , je le retint d'un geste.                                  
-Quoi ?                                                                                 
-D'abord , je veux que tu te débarrasse de cet arc et de ces flèches qui te poussent dans le dos.                                        
-Oh , d'accord.                                                                       
Il posa son attirail par terre.Je ne retirait pas mon bras.            
-Quoi encore ?                                                                       
-Si tu croit que tu vas monter dans mon lit avec tes chaussure,tu  rêves.             
                                                                
-Oups , pardon , marmonna-t-il en ôtant ses basket a coup de pied. Tu veux que j'enlève autre chose encore?                    
Je lui fit les gros yeux.Comme s'il n'était pas déjà assez sexy comme ça , avec son tee-shirt noir, son jean et son sourire narquois ..."

Ceci est un extrait du livre dont je ne peux me détacher, il m'emmène loin et me fais voyager a sa manière.

Aujourd'hui j'ai regardé le film de M6 vous savez le un jour une histoire la... (chacun ses points faible) le titre c'était "Un admirateur secret"...  Même si on en devine la fin très facilement et que c'est un film un peu cucu la praline... J'ai beaucoup aimé car encore une fois, j'aurai aimé être le personnage principale de l'histoire, j'aurai aimé qu'on m'invente de cette manière, qu'on raconte mon histoire.

Enfin, je m'ennuie vraiment chez moi j'ai hâte de reprendre le travail, ça me manque vraiment. Mon doigt me fait beaucoup moins mal et je me force a le faire travailler (d'ailleurs le clavier d'ordinateur est un bon mode de rééducation.). Il est encore tricolors.. Mais ca va mieux.

Je vous en supplie faite moi rêver, encore et encore.

(image totalement hors sujet)