Doux.Parfum

Doux.Parfum

Lundi 25 juillet 2011 à 18:35

Prologue.






Il l'appelait. Encore et encore. C'était la troisième fois cette semaine.
–    Carla je peux entrer? Dis moi je peux?
Carla fermait les yeux et ne disait rien. Elle ramenait les couvertures vers elle. Elle écoutait il était toujours là. Derrière sa porte. Elle priait le ciel pour que ce soir il ne se passe rien.
–    Carla , dis je peux?
Il ouvrit la porte de la chambre, et entra dans la pièce. Seul les lumière de la rue filtrait a travers le volet a demi fermé de la chambre. Il voyait très bien les yeux de Carla. Il lui implorait de ne rien faire. Carla voulut ouvrir la bouche pour dire quelque chose, mais rien ne sorti. Il se déshabillait la   devant elle, ce n'était pas la première fois... Carla fermait les yeux et se recroquevilla sur elle même. Il était désormais nu devant elle. C'était un jeune homme assez imposant pour son âge. Il était grand dans les un mètre quatre vingt, les épaules carrées. Il était sculpté. Oui sculpté était le bon mot. On pouvait voir chacune des formes de ses muscles, chaque contour de ses articulations. Il était beau. Oh ça oui il était beau. Il n'y avait rien a redire sur ça.  Mais les apparences restent des apparences , et celles-ci était trompeuses. A l'intérieur c'était l'être le plus infâme que dieu est fait. Carla le regardait fixement. Les larmes s'écrasait désormais sur ses joues. Il s'approcha de son visage , et passa ses mains dans les cheveux de Carla.
–    Je sais que tu en meurs d'envie. Carla je le sais! Tu m'appelles intérieurement. Tu es à moi . A moi! Et tu le sais. Ne m'énerve pas , pas ce soir ne fais pas comme les autres soirs. Carla s'il te plais. Cesse de pleurer et exécute toi. Sur le champs!
Il prit la chaise qu'il y avait près du lit et s'assit dessus. Carla ne bougeait pas. Elle avait la gorge noué, elle essayait d'étouffer ses sanglots mais ses larmes inondait ses joues. Il perdait patience et elle le savait. Il l'attrapa violemment par les cheveux tout en restant assis et la ramena a lui.
–    Carla j'attends! Dépêche toi! Ouvre ta bouge dessuite. Je ne vais pas attendre éternellement . Pose tes lèvres sur moi . Aller Carla j'en meurs d'envie et tu le sais. Ne te fais pas prier. Je t'aime.
L'idée de lui demander de quelle manière il l'aimait lui traversa l'esprit mais elle se ravisa. Il lui faisait mal. Elle se pencha au dessus de lui. Ouvrit la bouche et la referma sur « lui ». Elle entendait ses gémissements. Elle n'en pouvait plus. Il fallait que ça cesse. Oui il le fallait.

 

 

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Par lalileloluly le Mardi 26 juillet 2011 à 1:04
pourquoi une histoire moche ... Encore et toujours douloureuse de crainte et de psychologie . Ton tourment est il fantasme ou cauchemard .
 

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